Une travailleuse blessée s’est plainte à la Commission qu’elle n’avait pas reçu de réponse à sa lettre de plainte concernant son gestionnaire de cas. La lettre décrivait deux appels téléphoniques récents au cours desquels elle s’est sentie «intimidée et abusée» par son gestionnaire de cas. La travailleuse a indiqué à la Commission qu’elle avait à peine mangé ou dormi pendant trois jours à la suite de chaque appel.

À la demande de la Commission, la travailleuse a fait part de ses préoccupations en laissant un message vocal à une gestionnaire. Une fois de plus, elle n’a reçu aucune réponse.

La Commission a contacté la gestionnaire, qui a indiqué qu’elle n’avait pas reçu le message vocal et que la lettre de la travailleuse blessée n’avait pas été portée à son attention.

À la demande de la Commission, la gestionnaire a écouté l’enregistrement des appels téléphoniques, examiné la lettre de la travailleuse et constaté que celle-ci avait été traitée de manière inappropriée. La gestionnaire s’est excusée auprès de la travailleuse et a assigné un nouveau gestionnaire de cas. De plus, la gestionnaire a indiqué qu’elle utiliserait cette plainte comme une opportunité d’assistance professionnelle pour permettre au personnel de s’améliorer.