Une travailleuse s’est plainte à la Commission que la CSPAAT avait rejeté sa demande de prestations pour stress mental chronique sans un suivi ou une enquête appropriés.

La travailleuse a rencontré un gestionnaire de cas en mars 2018. N’ayant aucune nouvelle en décembre, elle a fait un suivi. La CSPAAT a ensuite envoyé une lettre rejetant sa demande. La travailleuse a affirmé qu’elle avait tenté de faire part de ses préoccupations à un chef de service par téléphone, mais qu’il ne l’avait pas rappelée.

La Commission a examiné le dossier de demande et a confirmé qu’au cours de la réunion de mars, la travailleuse avait donné les noms de personnes pouvant corroborer sa description des faits. La CSPAAT n’a pas fait de suivi auprès des témoins cités.

La Commission s’est entretenue avec un chef de service qui a promis de s’excuser auprès de la travailleuse. Il a déterminé que la CSPAAT avait besoin de renseignements supplémentaires pour rendre sa décision et a renvoyé la demande à l’équipe d’enquête.